Ce jeudi 1er octobre 2015, une grève est appelée dans le secteur infirmier par l’intersyndicale CGT-SUD-FO, accompagnée d’une manifestation devant le Sénat à 14h30. Une journée d’actions d’une rare unité puisque le syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI), la Coordination nationale infirmière (CNI) et le Syndicat national des infirmiers anesthésistes (SNIA) y appellent également. Dans le public comme dans le privé, le statut et les conditions de travail des infirmières se dégradent toujours davantage.
Depuis les luttes des migrant-e-s de la Chapelle, les médias mainstream se sont soudainement rendus compte qu’il était possible de traiter de la situation des migrant-e-s en France sous un autre angle que l’agitation du fantasme fasciste de l’invasion. Le discours humanitaire se fait entendre. Pour autant, un angle mort reste de taille : la situation des femmes migrantes.
Le Figaro a publié une étude mettant en avant une augmentation de 18 % du nombre de viols déclarés aux autorités. Un chiffre qui n’indique pas grand-chose sur le nombre de viols non rapportés à la police, pourtant bien plus élevé.
Suite à l’appel de Mifumi, organisation féministe internationale basée en Ouganda, la Cour suprême du pays vient de déclarer inconstitutionnel le remboursement de la dot de l’épouse en cas de divorce. Une avancée historique.
Mardi 30 juin, l’OMS a publié un communiqué de presse annonçant que Cuba devenait le premier pays au monde à avoir éliminé la transmission du virus du sida (VIH) et de la syphilis de la mère à l’enfant. Une avancée médicale qui redonne de l’espoir.
La Pride de nuit est une initiative militante organisée par des individuEs et des collectifs autour du mot d’ordre « Danser ne suffit pas : nos luttes sont solidaires, nos luttes sont politiques ! » pour une marche, non contradictoire avec la Marche des Fiertés du lendemain, mais plus revendicative. Elle partira ce vendredi 26 juin à 19h de la place des Innocents à Paris (Métro Châtelet-Les Halles).
L’association FièrEs, féministe, lesbienne, bi, trans, quelques mois après son adhésion, a décidé ce mercredi de quitter l’Inter-LGBT. La permanence des lacunes en matière de luttes antisexistes et antiracistes et l’affaire de l’affiche pour la Marche des Fiertés 2015, ont eu raison de sa motivation à œuvrer au sein de ce cadre.