« L’indépendance politique des travailleurSEs du sexe dérange »

Créé en 2009, le STRASS défend les droits des travailleurSEs du sexe, en militant pour leur déstigmatisation et en défendant la décriminalisation du travail du sexe. Accusée d’être un “lobby proxénète”, l’organisation oeuvre cependant pour “l’auto-organisation des communautés de travailleurSEs du sexe” et a participé aux collectifs à visée intersectionnelle, comme 8 Mars pour Tou.te.s ou encore #NousToutes.

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