L’ouvrage de Marie-Cécile Naves, politologue et chercheuse à l’IRIS, publié chez Calmann-Lévy en octobre 2020, propose d’envisager le féminisme comme une nouvelle manière de gouverner. Un livre innovant, résolument optimiste, qui repense la démocratie par le prisme du genre.
Pour son troisième numéro de revue papier, le média féministe Les Ourses à plumes lance un appel à contributions pour cette fois-ci faire appel à d’autres Plumes, en plus de celles de son équipe. Le thème choisi : les nouvelles manières de lutter.
Afin d’avoir plus d’informations sur notre lectorat et mieux cibler ses envies, nous lançons un sondage pour davantage les connaître. Parmi les personnes ayant pris le temps de nous répondre, nous tirerons au sort pour faire gagner un numéro de la revue n°2 que nous enverrons à la personne de son choix. (durée du sondage estimée à 5 minutes)
Petite sélection de podcasts féministes réalisée par plusieurs rédactrices des Ourses. De la théorie, des interviews, des témoignages, des chercheur-se-s, des célébrités, des anonymes, autant de formats pour aborder un immense éventail de sujets.
Publié le 19 août 2020 chez Monstrograph, micro-maison d’édition associative, l’essai Moi les hommes, je les déteste de Pauline Harmange est depuis quelques jours sous le feu des projecteurs. Mediapart a en effet révélé que Ralph Zumély, chargé de mission au ministère délégué à l’égalité femmes-hommes, tente d’en interdire la publication.
Lancé en avril 2020, pendant le confinement en France, notre concours « Pourquoi je suis devenuE féministe » a remporté un beau succès, avec 35 participations. Majoritairement des textes, mais aussi des productions avec des formats plus originaux. Découvrez -les !
Mardi 21 juillet 2020, le Sénat a adopté une proposition de loi sur la protection des victimes de violences conjugales. Déjà adoptée le 16 juillet 2020 par l’Assemblée Nationale, la loi propose notamment la levée du secret médical en cas de “danger immédiat” et un alourdissement des peines en cas de harcèlement au sein du couple, portées à dix ans si la victime s’est suicidée ou a tenté de le faire. Malgré les demandes de certaines associations féministes, cependant, le mot “féminicide” n’a pas été inscrit dans le texte. Retour sur un terme controversé.
Les Ourses à plumes lancent un 2e concours d’écriture, avec cette fois-ci une incitation à livrer vos récits personnels sur la thématique « Pourquoi je suis devenuE féministe ? ». Les productions devront être envoyées avant le 31 mai 2020.
Le numéro 2 de la revue papier annuelle des Ourses à plumes a été imprimé en décembre 2019. Voici son sommaire détaillé, vous pouvez encore la commander.