La websérie française « Vénus » créée par Adèle Potel-Gouget et produite par ARTYSTEAM, actuellement en cours de développement , oriente notre regard sur le monde LGBT+ et plus particulièrement, le lesbianisme, sans fard et en évitant les clichés. Une plongée au sein d’un groupe de jeunes femmes aux multiples facettes. Nous avons échangé avec la créatrice de « Vénus » pour en savoir un peu plus à ce sujet…
Bien qu’elles aient souvent été célébrées en tant que modèles ou encore muses inspiratrices, peu de femmes ont réussi à se faire une place dans l’histoire des arts. Pourtant, nombreuses sont celles qui ont réalisé un travail talentueux bien trop souvent méconnu du public.
Après avoir raté sa chance aux Oscars, Portrait d’une jeune fille en feu de Céline Sciamma repart des Césars avec une seule récompense malgré une dizaine de nominations : celui de la meilleure photographie et une actrice principale furieuse après l’annonce odieuse récompensant Roman Polanski comme meilleur réalisateur.
Marie-Paule Ramo propose une adaptation intelligente, juste et drôle d’un texte de Virginia Woolf sur les conditions de la création féminine à travers un monologue d’1h15 interprété avec finesse par Nathalie Prokhoris au théâtre parisien Le Local.
Si vous êtes de passage à Londres, profitez-en pour visiter l’exposition Kiss my Genders qui se tient à la Hayward Gallery dans le South Bank Center. Elle propose de revenir sur le travail d’une trentaine d’artistes abordant la question du genre et de l’identité tel-le-s que : Flo Brooks, Juliana Huxtable, Catherine Opie, Del LaGrace Volcano, Kent Monkman, Pierre Molinier, Peter Hujar ou encore Martine Gutierrez pour ne citer qu’elleux . Vous avez jusqu’au 8 septembre 2019 pour vous y rendre !
« Un coup de gueule », « une hargne jubilatoire », « les formules claquent », « drôle et glaçant »… L’adaptation coup de poing de King Kong Théorie écrit par Virginie Despentes il y a déjà plus de dix ans est un succès. Son texte, toujours d’actualité, est joué jusqu’au 31 décembre 2018 à Paris, au Théâtre de l’Atelier.
Confrontée à de nombreuses mutations, ballottée au gré des vents politiques, l’école reste toujours au centre du débat concernant l’égalité entre garçons et filles. La mixité de genres est-elle vraiment acquise ? Comment tente-t-on d’éradiquer les stéréotypes ?
Pour la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, l’université de La Rochelle a organisé un café-débat sur le féminisme et ses expressions à travers l’art qui fait écho à la 9ème édition du festival Des elles à La Rochelle. Un festival qui s’empare de la ville tout le long du mois de mars, pour mettre en avant les femmes à travers de nombreuses expositions, des débats, des rencontres, des ateliers…
Qu’est-ce que le féminisme intersectionnel ? Pourquoi est-il nécessaire ? Comment le mettre en œuvre ? Ce sont les trois grands axes développés dans ce texte, traduit d’un article initialement paru sur EverydayFeminism.com, un site créé en 2012 aux États-Unis se présentant comme une « plateforme de libération sociale et personnelle ».