De nombreuses expositions fleurissent à Paris et en proche banlieue pour le printemps 2017. Nous avons commencé par nous intéresser à l’exposition d’art contemporain « Projections » au Shakirail qui sera terminée ce week-end le 30 avril 2017. Il y a aussi ce week-end une expo « Sexualités » à ne pas manquer et encore d’autres événements avant l’été…
On vous avait déjà parlé du Festival de la Zouz : une soirée entièrement dédiée aux artistes, créatrices, musiciennes, à la programmation « all women ». La deuxième édition du Festival de la Zouz aura lieu ce jeudi 6 avril 2017 à « à la folie » dans le 19e à Paris. Les organisatrices de l’événement ont convié Les […]
Aujourd’hui, lorsqu’une jeune fille doit sortir le soir, on lui conseille souvent de ne pas se mettre en jupe, ou alors avec une jupe pas trop courte. Lorsqu’une femme se fait agresser, il y a toujours quelques personnes pour demander si la manière dont elle était habillée n’était pas trop aguicheuse. Finalement, la moralité et la décence d’une femme est souvent rapportée à ses vêtements, sur lesquels la société impose un discours ; c’est le slut-shaming. Phénomène que l’on peut remonter au XVIIIe siècle.
« L’habit ne fait pas le moine », certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
« L’habit ne fait pas le moine », certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
Dian Pelangi est une créatrice de mode indonésienne en plein succès. Sa force, c’est un look frais et coloré avec un foulard. On a trop souvent vu les femmes voilées représentées comme des femmes opprimées, négligées, cachées. Dian Pelangi participe activement à changer cette image.
» L’habit ne fait pas le moine « , certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
Robes, brushing, boucles d’oreilles et talons aiguilles… Tous les jours sur M6, des candidates s’affrontent dans Les Reines du Shopping. Et attention pour que cela marche, les femmes doivent être sanglantes entre elles. Récit d’une mise en scène dégradante.