Les Ourses à plumes lancent un 2e concours d’écriture, avec cette fois-ci une incitation à livrer vos récits personnels sur la thématique « Pourquoi je suis devenuE féministe ? ». Les productions devront être envoyées avant le 31 mai 2020.
Le numéro 2 de la revue papier annuelle des Ourses à plumes a été imprimé en décembre 2019. Voici son sommaire détaillé, vous pouvez encore la commander.
Les Ourses à plumes lancent un concours d’articles sur la thématique « Portraits d’afroféministes ». Le choix de la personne afroféministe mise en valeur et la forme que vous choisirez sont très libres. La date de rendu est fixée au 10 octobre 2019.
Un entretien avec la graphiste Louise Courtois, qui, depuis un an travaille, transforme et questionne les images et les mots qui font le porno mainstream actuel.
Après avoir publié un premier numéro à l’automne 2018, l’équipe des Ourses à plumes se lance dans un second. Pour pouvoir financer cette revue féministe, en gardant notre indépendance, nous avons besoin de vos soutiens (financiers, partages sur les réseaux…).
Loi sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires publics : 15 ans plus tard, bilan et expression des femmes musulmanes portant le voile. Cette tribune, à l’initiative de Nta Rajel?, collectif féministe de politique décoloniale de la diaspora nord-africaine, a également été signée par Les Ourses à plumes.
A l’approche des fêtes de fin d’année, nous avons voulu présenter des idées de cadeaux – pour les autres ou pour soi – qui sortent un peu des stéréotypes de genre. Dans cette perspective, nous avons interviewé les responsables de Talents Hauts, une maison d’édition pour la jeunesse aux positions progressistes.
A l’approche des fêtes de fin d’année, nous avons voulu présenter des idées de cadeaux – pour les autres ou pour soi – qui sortent un peu des stéréotypes de genre. Dans cette perspective, nous avons interviewé Isabelle Cambourakis, créatrice et responsable de la collection Sorcières.
La récente liquidation de Yagg, venant après la disparition de Têtue suite au rachat de Têtu, pose la question du modèle économique des médias LGBTIQ+, et en particulier ceux destinés aux femmes qui aiment les femmes. Dans la presse française, 3 titres spécialisés se maintiennent, avec 3 modèles économiques radicalement différents : Well Well Well, Jeanne Magazine, et Barbi(e)turix.