A l’approche des fêtes de fin d’année, nous avons voulu présenter des idées de cadeaux – pour les autres ou pour soi – qui sortent un peu des stéréotypes de genre. Dans cette perspective, nous avons interviewé les responsables de Talents Hauts, une maison d’édition pour la jeunesse aux positions progressistes.
A l’approche des fêtes de fin d’année, nous avons voulu présenter des idées de cadeaux – pour les autres ou pour soi – qui sortent un peu des stéréotypes de genre. Dans cette perspective, nous avons interviewé Isabelle Cambourakis, créatrice et responsable de la collection Sorcières.
La récente liquidation de Yagg, venant après la disparition de Têtue suite au rachat de Têtu, pose la question du modèle économique des médias LGBTIQ+, et en particulier ceux destinés aux femmes qui aiment les femmes. Dans la presse française, 3 titres spécialisés se maintiennent, avec 3 modèles économiques radicalement différents : Well Well Well, Jeanne Magazine, et Barbi(e)turix.
Contactées par le collectif de la Galerie Intersectionnelle, galerie virtuelle d’art féministe, les Ourses à plumes reproduisent ici leur texte de dénonciation de la censure qui les frappe.
Nous les féministes, on est souvent accusées – par d’éminents intellectuels dont nous ne ferons pas la publicité ici – de vouloir détruire le père, ou l’émasculer. Rien de plus faux ! Dressons ici, à grands traits, et selon une famille traditionnelle hétéroparentale, le portrait du père idéal.
Toute l’équipe des Ourses à plumes s’associe à la douleur des familles et des victimes, blessées ou non, survivantes. Ces drames nous touchent de près, par nos réseaux personnels et militants, mais aussi à un niveau symbolique et politique. Nous refusons l’instrumentalisation des deuils et des traumatismes à des fins sécuritaires et guerrières, car ces politiques liberticides, en plus de réprimer le mouvement social, visent toujours in fine les populations déjà les plus vulnérables – et nourrissent l’escalade.