Il n’y a aucune ambiguïté de la part des féministes : nous croyons toutes les victimes et nous sommes les premières à dénoncer TOUTES les violences masculines faites aux femmes, où qu’elles soient et d’où qu’elles viennent, contrairement au gouvernement qui lui soutient les agresseurs et ne lutte pas contre les violences de genre – et ça sans ambiguïté non plus.
Du centre-ville au Nord du XVème arrondissement, la journaliste Margaux Mazellier déroule les portraits de Marseillais-e-s battant-e-s, féministes et militant-e-s aux éditions Hors d’Atteinte. Sur près de 50 ans d’histoire, elle démontre que Marseille est trop puissante. À jamais les premier-ère-s !
« La question centrale est donc de savoir combien je gagne par rapport à ma contribution à la société, et non plus par rapport à combien d’argent je rapporte aux actionnaires. »
Des blogs aux réseaux sociaux, de plus en plus de personnes utilisent Internet pour défendre une cause, ou leurs opinions. Mais est-ce pour autant du militantisme ? À les écouter, la frontière est mince…
Depuis une semaine, le film Riposte féministe fait coller beaucoup de posts sur les réseaux sociaux. Des militant-e-s accusent l’équipe de production de ne pas avoir respecté leur droit à l’image.
30 décembre 2020, l’avortement est légalisé en Argentine. Mais revenons quelques temps en arrière, en 2018, lorsque les débats sur un projet de loi légalisant l’avortement émergent. Le film documentaire « Socorristas – militantes de l’avortement » suit un groupe d’activistes féministes durant cette période agitée.
Comment lutter lorsqu’on fait face au sexisme, au racisme et à l’islamophobie ? Sarah Zouak, cofondatrice et directrice de l’association Lallab a répondu à nos questions. Entrepreneure sociale, militante féministe et antiraciste, elle est aussi l’autrice et la réalisatrice du documentaire Women SenseTour in Muslim Countries.
Risposte féministe, un film documentaire sur les collages, sortira en salles le 9 novembre 2022. Rencontre avec ses co-réalisateurices, Marie Perennès et Simon Depardon.
On a lu pour vous le livre « De chair et de fer, Vivre et lutter dans une société validiste » (aux éditions La Découverte), écrit par la docteure en philosophie Charlotte Puiseux, elle-même concernée par cette discrimination. Rédactrice pour Les Ourses à plumes depuis notre création, elle fait également partie du collectif féministe Les Dévalideuses.
En s’appropriant avec succès cette plateforme, le féminisme touche un autre type de public, souvent plus jeune. L’objectif : donner de la visibilité aux luttes et rendre accessible le féminisme à tou-te-s ! Cependant, réseau social de l’image par excellence, Instagram dicte ses règles et accorde une importance prédominante à l’influence et à l’esthétique visuelle. Au risque d’une dépolitisation des luttes ?