Créé en 2009, le STRASS défend les droits des travailleurSEs du sexe, en militant pour leur déstigmatisation et en défendant la décriminalisation du travail du sexe. Accusée d’être un “lobby proxénète”, l’organisation oeuvre cependant pour “l’auto-organisation des communautés de travailleurSEs du sexe” et a participé aux collectifs à visée intersectionnelle, comme 8 Mars pour Tou.te.s ou encore #NousToutes.
La Queer Week organise une sex-party en non-mixité « MeufsGouinesBi.e.sTrans*Inter* », c’est-à-dire sans hommes cisgenres. La deuxième édition de la Drama se tiendra ce dimanche 17 mars au 17 quai de l’Oise. Nous avons rencontré Elsa, du collectif, qui répond à nos questions de néophytes.
Women’s March, Jeanette Eppsla, histoire de la représentation du sexe féminin… retrouvez ici la synthèse de l’actualité féministe de la semaine dernière.
Plusieurs articles récents et même une proposition de loi présentée fin janvier 2016 par Jacques Bompard, (député FN élu à l’Assemblée Nationale) pointent du doigt le porno au nom du droit des femmes et de la lutte contre les violences qui leur sont faites. Le problème ? Ces prises de position nient totalement aux femmes le droit de disposer d’elles-mêmes, de leur corps et de leur sexualité.
Publicités sexistes, présomption de légitime défense pour les femmes battues, journée mondiale de l’orgasme… retrouvez ici la synthèse de l’actualité féministe de la semaine dernière.
Apparemment, beaucoup de mecs, mais VRAIMENT BEAUCOUP, ne captent pas ce que « consentement » veut dire. En effet, il semble que les gars ont un vrai problème à comprendre qu’avant de coucher avec quelqu’un, et ce à chaque fois que ça se pose, il faut s’assurer que cette personne a également envie de coucher avec vous. Pourtant c’est vraiment pas très difficile comme concept. Vraiment. Si t’es encore en train de galérer à essayer de comprendre, imagine qu’au lieu de proposer du sexe, tu proposes une tasse de thé.