Marie Albert se présente comme « aventurière, journaliste et autrice féministe ». A 28 ans, elle signe son premier roman, « La Puissance », en autoédition. Elle y raconte, son voyage en cargo, entourée d’hommes, et sa quête de reconstruction après avoir été victime de violences sexuelles. Interview.
Historienne des sexualités, Maëlle Bernard a publié en septembre 2021 Histoire du consentement féminin. L’occasion de revenir sur la construction historique de la culture du viol et de rencontrer l’autrice.
Avec « Slalom », la réalisatrice Charlène Favier plonge au cœur des codes du film sportif et nous livre un premier long-métrage coup de poing et porteur d’espoir.
On a lu pour vous le livre « Une culture du viol à la française », écrit par Valérie Rey-Robert – l’autrice du blog féministe Crêpe Georgette – et publié aux éditions Libertalia. Un livre difficile à lire parfois lorsqu’on a soi-même été victime, mais qui offre de nombreux outils pour militer et sensibiliser les autres.
A l’occasion du 25 novembre, l’association Femmes pour le dire, femmes pour agir lance un site Internet pour compléter son offre d’écoute à destination des femmes en situation de handicap victimes de violences.
Avec le mouvement #MeToo et la mobilisation autour du nombre de féminicides commis dans un cadre conjugal, les associations qui œuvrent contre les violences faites aux femmes alertent régulièrement sur le manque de moyens dont elles disposent. Nous les avons sondées à l’automne 2019 afin de faire un petit état des lieux de la situation.
Le film « Les Chatouilles » raconte l’histoire d’une petite fille victime de violences sexuelles, qui décide de parler une fois adulte. Un récit de souffrance puissant et percutant.
Le 16 juin 2018, des centaines de personnes ont défilé dans les rues de Genève à l’occasion de la Slutwalk, une marche féministe, festive et militante organisé chaque année depuis 2012 par Slutwalk Suisse.
L’artiste Estelle Prudent, noire et lesbienne, expose son oeuvre au Centre LGBT de Paris. Ses photos « Queer super power » dénoncent l’invisibilisation de la communauté queer racisée, tandis que ses « Penses Bêtes » témoignent d’instants de discriminations (racisme, sexisme, homophobies, violence sexuelles…). Deux projets avec le même but : « libérer la parole aux concerné-e-s ».