Avec la réouverture des lieux de culture, les Ourses sont allées visiter deux expositions qui mettent en valeur le rôle des femmes dans les arts : la naissance du combat des femmes peintres entre 1780 et 1830 au Musée du Luxembourg et les femmes artistes dans l’art abstrait au Centre Pompidou.
Bien qu’elles aient souvent été célébrées en tant que modèles ou encore muses inspiratrices, peu de femmes ont réussi à se faire une place dans l’histoire des arts. Pourtant, nombreuses sont celles qui ont réalisé un travail talentueux bien trop souvent méconnu du public.
Du 4 au 26 mars 2016, la photographe Nadja Makhlouf expose au Centre Culturel Algérien. Son exposition « De l’invisible au visible : Moudjahida, femme combattante » met en avant des portraits de femmes qui ont combattu pendant la guerre de libération en Algérie et qui sont restées dans l’ombre pendant près de 50 ans.
« L’habit ne fait pas le moine », certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
Un mardi sur deux : l’analyse d’œuvres d’art à la lecture d’une grille féministe, antiraciste, et historique. Le thème abordé aujourd’hui est le motif de l’almée, cette femme souvent représentée à moitié nue dansant la danse du ventre dans un harem.
Un mardi sur deux : l’analyse d’œuvres d’art à la lecture d’une grille féministe, antiraciste, et historique. L’oeuvre mise en lumière aujourd’hui est un happening de Yoko Ono : Cut Piece.
« L’habit ne fait pas le moine », certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
» L’habit ne fait pas le moine « , certes. Néanmoins, l’étude de la mode, ou plutôt des vêtements, à travers les siècles permet de connaître avec plus d’acuité une période donnée : l’économie, les mœurs, les statuts des hommes et des femmes. De nos jours, le slutshaming et l’islamophobie prennent de plus en plus d’ampleur à travers la critique des vêtements. Il est dès lors intéressant de s’interroger sur l’histoire de la mode. Autrement dit, venez avec moi tordre le cou aux préjugés, à travers l’étude du vêtement féminin !
Alors que se termine sa première exposition à l’Amicale Laïque de Wattrelos, Rachel Duel alias Mlle Svenskah, en 4eme année à l’Ecole Supérieur d’Art du Nord-Pas-de-Calais (ESA) à Tourcoing, se prépare déjà pour deux autres expositions pour l’automne 2015. L’occasion de revenir sur son parcours plutôt bien commencé. Rencontre avec cette jeune artiste de 21 ans.